Age
30 ans
Lieu de Naissance
Kansas
Catégorie:
#4
Raison de son Envoi au Sud :
homicides && trahison
Communauté:
Neutre. Le conseil.
Rôle dans la Communauté
Chef, membre du conseil de Tijuana.
Traits de Personnalité: ( adjectifs)
Indépendante - têtut - sarcastique - protectrice - franche - pragmatique

"Quand j'étais plus jeunes, dans mon adolescence, je devais avoir aux alentours de seize ans. J'étais encore au lycée. J'étais la fille la plus désirée de l'école. Ladite plus belle, ladite plus dur, ladite plus souriante. La parfaite pompom girl. Ouais, Pom pom girl. Je l'étais dans ma jeunesse. La chef des pompoms girl. Chorégraphe et je faisais tout par moi même. J'étais une amie pour tout le monde. Mais je m'étais toujours sentit aussi seule. Peu importe les amis que j'avais. Ce n'était jamais parreil, depuis que mon frère était parti, que mes parents oubliaient complètement ma présence. Malgré. tout, je réussissais à faire tout ce que je pouvais, tout ce que je voulais. Je me souviens encore que je faisais plein de party dans mon énorme manoir, mais je ne faisais rien d'illégale. Il faut le dire, ma vie n'a pas toujours été rose, mais j'agissais toujours comme tel. Je faisais tout pour qu'elle le soit. J'avais un seul et unique vrai ami. Aaron Jayden Cornwell. C'était le meilleur ami que je ne pouvais pas avoir. Désolé, une erreur est survenue. Veuillez essayer d'actualiser la page.

Il me consolait, me faisait rire, parfois il faisait tout pour me rendre folle. Mais je l'aimais bien après tout. Il ne m'avait jamais vraiment fait du tort. Je me souviendrai encore de cette journée où il m'avait avoué qu'il m'aimait. Au grand jamais je ne l'aurais cru aujourd'hui, comme à cette époque. Laissez moi vous expliquer. J'étais seule cher moi dans ma chambre. Soudain, on toquait à ma fenêtre. Je m'étais levai et écartant les rideaux, je le vis de l'autre côté, appuyai contre le toit. Un sourire sur le visage, j'étais sortis le rejoindre. Tous les deux allongé, on fixait le ciel dans le silence. J'avais ma tête contre son épaule et lui, son bras autour des miennes. Sans prévenir, il se tourna sur le côté, se redressa légèrement avant d'approchai son visage du mien. Je ne savais pas vraiment comment réagir. Je ne l'avais jamais vu comme ça auparavant. « Qu'est-ce que tu fais? » Il me regarda droit dans les yeux. « Je te regarde. » Je fis un léger sourire avant qu'il ajoute avant que je dise quoi que ce soit. « Koda. Je peux te demander quelque chose. » Je le regardai avec un grand sourire. « Euh... Oui. Qu'est-ce qu'il y a. » Il détourna les yeux fixant la fenêtre un moment. Sur le coup, je fus inquiete. « Est-ce que tu veux sortir avec moi. » Il avait levé les yeux vers moi me découvrant toute rouge. J'avais secoué la tête vivement en signe d'approbation. Durant des années, nous sommes sortis ensemble, nous avons eut un fils nous avons tout les deux étés engagés par la NSA. Nous nous sommes marié dix ans après qu'il m'ait avoués ses sentiments pour moi. Il m'avait demandé de l'épouser et j'avais accepté. Notre fils dans les bras, nous avons décidé de prononcer ses mots. « Je le veux » « Oui je le veux » Sur ce, il m'embrassa. Il y a un an, mon mari est mort, peut-être plus d'un an. Un an et trois mois. On m'a tout mis sur le dos.

Ça fait trois mois que je fuis, on me prend pour une traitresse. On croit que j'ai tué mon mari. De plus, ne me croyant pas pour le fait que des agents trahissait le pays. Je les avais éliminés, bien sûr, durant ses trois mois de cavale. Je voulais protéger mon pays et mon fils. On avait déjà essayé de le tuer, je n'avais jamais voulu abandonner mon boulot, mais maintenant pour mon fils à force d'y penser, j'aurais dû le faire. J'ai perdu mon mari, mon fils à cause de ce boulot. On m'a enlevé mon fils, je ne pouvais tout de même pas ne pas faire attention. Une arme à la main, j'entrais dans le bâtiment où on avait enfermé mon fils, tout ce que je voulais, c'était le récupérer. J'avais l'un de ces regards noirs, tout ce que je voulais, c'était le récupéré, peu importe les conséquences. J'avais une vie parfaite, parfaite. Mais on me l'a bousillé. On m'a enlevé ce qui m'était le plus cher. Mon mari. Ma liberté. Et on m'a éloigné de mon fils. Comment j'allais bien pouvoir faire sans eux. C'était tellement compliqué pour moi de ne pas vivre sans eux.Je faisais tout pour eux, tout, je respirais, mangeais, travaillais, cuisinais pour eux. Un jour peut-être que je commencerais à vivre pour moi. Depuis toute petite je ne l'ai jamais fait. Il faut croire que je me faisais la vie dure quand j'étais seule dans ma petite vie. Donc, un pas devant l'autre, j'abattais tout les gardes qui se dressaien t devant moi. Je n'avais aucune pitié. J'étais comme une maman ours, ou encore une lionne qui ne veut que récupérer son petit. Ce n'est pas pour autant que je les faisais souffrir. Sachant qu'ils portaient tous des gilets par-balle, je leur tirais un seul coup dans la tête, j'avais toujours eu du visous, pas question de faire souffrir quelqu'un d'une douleur physique. Ils m'avaient tous fait souffrir sentimentalement parler, alors c'était à ceux qui les entouraient d'avoir cette souffrance. Je m'arrêtai après un moment je les regardai prenant un instant les yeux clos les appuyant tous contre le mur un après l'autre. Je pris mon arme et regardai les caméras avant de tirer sur cette dernière. Traversant tous les couloirs je détruis toutes les camerés. Arrivant à l'endroit où ils gardaient mon fils, je prit le passe de l'un des gardes pour entrer. Le voyant dans un coin, je lâchai mon arme et me ruai vers elle. « Maman est là Michael... Je suis là. » « Maman! »Il s'était jetai à mon cou. Je fermai les yeux avant de me redresser avec lui autour de moi. Je pris mon arme et couru à l'extérieur. À peine j'avais mis le pied dehors, on me sépara de lui. On m'attrapait par les bras me gardant éloigné de lui. Michael mordit celui qui le tenait et courus vers moi. Soudain, un coup de feu retentit. Tout ce que je vis, c'est mon fils, de huit ans qui s'arrêtait tombant au sol. Couvert de sang, il ne bougeait plus les yeux tous deux ouvert. Je sentis les larmes me monter aux yeux. Hurlant à tue-tête, je regardai le tireur qui fut aussitôt menotté et enfermé. Je me retrouvai dans une cellule, voisine de celle de l'assassin de mon fils. « Tu n'es qu'un monstre Kurtland... Il n'avait que huit ans. C'est sur moi que tu aurais du tiré. » Puis un rire ironique. « C'est à toi de ne pas tuer mon frère. Tu vas devoir vivre avec cette douleur Cornwell. » D'un seul coup, je m'étais levai l'attrappant en le plaquant contre les barreaux. « Je vais te tuer Kurtland! Tu entends!! Je vais te tuer! C'est une promesse! » Le soir même, je fus embarqué dans un convois direction le sud. Je n'avais aucune raison de lutter, j'avais tout perdu. Restant dans la partie du sud, je regardai les murs se fermer devant moi, je n'avais plus rien, sauf une revanche.

J'ai passé trois semaines à errer dans les quatre divisons, le nord, l'est, l'ouest et le sud. Je n'étais pas capable de faire un choix, jusqu'à ce que je croise ce Kurtland. Croyez-moi, je l'ai trouvé et dès que je l'ai trouvé, je lui ai fait sa fête. Il faut le dire, je ne suis pas allé de mains mortes, il m'a tué, en quelque sorte. Ma vie, depuis mon arrivée, n'était que désastre. Je faisais attention à personne, jusqu'au jour où je croisai une enfant, seule dans un tas de débris. Je n'avais pas pu me retenir. Voyant des hommes mal attentionné, j'avais pris la première chose qui m'était tombé sous la main et les avait violemment assommé. J'avais pris la fillette dans mes bras marchant plus loin tout en attrapant leur arme. En entendant l'un d'eux se relever, j'avais fermé les yeux de la gamine avant de me retourner pour lui tirer dessus le faisant souffrir. Il n'était pas question que l'on touche à un enfant. Je l'avais amené à la communauté du nord, elle avait besoin que l'on prend soin d'elle. Pourquoi cet enfant était de ce côté-ci du mur, elle n'avait plus ses parents. Je leur avais laissé l'enfant reprenant ma route. Au loin, j'aperçus cet homme qui avait enlevé la vie à mon fils. Deux armes à la main, je m'étais activement avancé vers lui, lui tirant directement dans le genoux. Je le fis rapidement tombé tournant l'arme tout en le frappant brusquement sur la tampe. Il tomba inconscient. Je restai près de cet homme jusqu'à ce qu'il ouvre les yeux. Serrant les poings Je me levai et pointai mon arme vers lui. Il me fixa avec l'un de ses sourires. « Tu sais, Aaron voulait que je l'épargne... » Il venait de dire quelque chose qui me faisait devenir rouge de colère. « Ça c'est pour Aaron. » Je tirai directement dans le poumon le faisant hurler de douleur, puis il se mit à rire. « Et ça, c'est pour Michael. » Je m'approchai posant un genoux à terre tout en plaquant mon arme sur son torse. « On se revoit en enfer Sal c*n. » Je tirai directement direction son coeur. Je me redressai marchant à nouveau le laissant souffrir et mourir seul. Quelques jours plus tard, je me retrouvai dans la zone neutre. Tête dur et ede leader que je suis, j'avais rapidement pris soin de tout organiser. Je m'étais attaché à personne, je ne voulais perdre personne, donc je préférais ne pas m'attacher. J'avais suivi des cours de médecine et plusieurs autres technique, je faisais attention à tout le monde surtout aux membre de la zone, je n'avais pas peur d'accueillir le monde qui s'y trouvait.