• Messages : 88 • Crédits : CRUSTY REEK • Citation : « Tu t’es tiré dessus exprès ! » « Sur le moment ça m’a semblé une bonne idée. »
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Sujet: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 15:13
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' Caméline Elizabeth Castle
Laisse jamais personne te faire croire que tu ne mérites pas ce que toi tu veux
Identity Card
Age : 27 années d'existence avec pourtant une putain d'impression d'avoir en réalité 1000 ans. Un mal qui te ronge jusqu'à la moelle au point de laisser une trace profonde de dents. Une trace impossible à effacer même si tu le veux. Même si tu fermes les yeux très fort et pries de tout ton être. Lieu de Naissance : New York Catégorie : 3 il faut croire qu'elle ouvrait trop sa grande gueule, le monde partait en vrille, elle refusait de l'accepter et le faisait savoir. On lui a ensuite prit sa dernière famille alors elle n'avait plus rien à perdre, même pas sa propre vie. C'est pour cela que la jeune femme s'est ouvertement dressée contre le gouvernement, de manière imprudente, au point de se faire prendre. Raison de son Envoi au Sud : Attentats contre le gouvernement - meurtres Communauté : A son arrivée dans le sud, Caméline a refusé d'intégrer l'un des camps qui s'étaient formés. Elle a donc fait partie des Solitaires durant une année entière puis, il y a environ 5 mois, la jeune femme a entendu parlé d'une nouvelle communauté qu'elle a rejoint depuis peut : L'east. Rôle dans la Communauté : Caméline n'est pas arrivée depuis longtemps dans la communauté, elle n'a donc pas encore de rôle définit. Pour le moment elle se contente de donner un coup de main, à sa façon, comme elle peut et continue à l'occasion d'escorter des clients quand elle en a. Traits de Personnalité : Réservée, dure, réfléchit, patiente, observatrice, méfiante, intelligente, loyale, forte, vive, sarcastique, franche, prudente, fière, courageuse, charismatique, ordonnée, maniaque, entêtée, lunatique, indépendante, redoutable, solitaire, curieuse.
entre le paradis et l'enfer, il y a la vie.
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« Tous ces dirigeants ne sont pas des Dieux mais des mortels, de simples hommes, comme vous et moi. Et tout homme à ses faiblesses. Quand nous les trouverons, car un jour se sera le cas, ils tomberont de haut en vous entraînant avec eux. J’espère du plus haut possible, ainsi la chute sera longue et douloureuse. Alors les regards de tous les malheureux, de tous les innocents que vous aurez traités comme des chiens seront braqués sur vous et nous nous délecterons de votre peur et de votre douleur. Oh oui nous profiterons de ce moment, le faisant durer encore et encore, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de vous, que l’ombre de vous-même, une carcasse vide et inanimée. Allez y souriez si vous le souhaitez, plus tard vous n’en aurez plus l’occasion. Vous savez, la roue finit toujours par tourner, c’est ce qu’on dit et je pense que les gens ont raison. Si j’étais vous, à partir d’aujourd’hui, où que j’aille, je regarderais constamment par dessus mon épaule. Comme ça, au cas où… Retenez bien ceci : Aucun mur, aussi grand soit-il ne peut être abattu. Aucun mur, aussi épais soit-il ne peut contenir indéfiniment vengeance, haine, souffrance, et espoir. Oui, nous reviendrons. Mais… De vous à moi. Nous connaissons la vérité, n’est ce pas ? Mais si ! Vous avez beau nous parquer dans un coin comme des bêtes, une partie de nous sera toujours présente de ce côté-ci. Une partie de nous vivra à travers vous, à travers vos rêves… Ou devrais dire, cauchemars ? »
◮
J’essayais d’être discrète, toute de noir vêtue et à moitié dissimulée à l’entrée d’une petite ruelle adjacente. Je surveillais une maison en particulier, où apparemment personne ne vivait vu son état de délabrement, et les alentours de la rue principale complètement déserte. Sans doute à cause d’une pluie glaciale et incessante. Je resserrais les pans de mon manteau et croisais les bras à hauteur de poitrine, veine tentative pour essayer de garder un tant soit peut de chaleur. En soupirant je quittais ma cachette de fortune et rejoint d’un pas tranquille la voiture où mon collègue m’attendais et que je maudissais mentalement. A notre arrivée aucun de nous n’était particulièrement enchanté de poireauter sous une pluie battante en attendant notre suspect. Comme à notre habitude ont la joué à pile ou face, une bonne vieille technique, simple et qui évite de longues et pénibles discutions qui se finissent généralement en disputes. C’était notre truc à jack et moi. Quoiqu’il en soit, j’ai choisi pile et devinez quoi ? J’ai perdu. Je m’engouffrais dans la voiture et claquais la portière derrière moi en émettant un petit bruit de satisfaction, Jack me fixa le regard moqueur avant de me passer une serviette ce qui coupa net mon envie de réplique cinglante. Je grommelais un vague merci et son sourire s’élargit encore. Je me séchais rapidement avant de ramener mes cheveux humides en chignon et d’accepter le thermos, remplit d’un bon café brûlant, que me tendait mon partenaire. Jack était un homme massif, imposant et d’un certain âge comme l’indiquaient ses tempes grisonnantes. C’était une force de la nature qui appartenait à la police depuis des années et à qui on n’avait plus rien à apprendre du métier. Il était aussi calme que moi impulsive mais on s’entendait bien, on était complémentaires, ce qui étonnait tout le monde et moi la première. Avant lui, je ne supportais pas le travail en équipe. Maintenant… Disons que ça dépend. « Quand on aura bouclé cette affaire, rappel moi de remercier Mary. » Mary, c’était sa femme. Une femme minuscule, une véritable boule d’énergie et de tendresse, quelqu’un d’adorable avec un caractère étonnant. Le courant est tout de suite bien passé entre nous, enfin… Surtout à partir du moment où je lui ai certifié qu’elle n’aurait pas à m’arracher les yeux car jamais il ne me viendrait à l’esprit de séduire son mari. Et je dois bien l’avouer, nous sommes devenues plus proche encore quand je lui ai proposé de monter la garde pour elle au boulot. Jack se doute bien de quelque chose mais je pense qu’il préfère rester à l’écart de nos complots de, je cite, bonnes femmes. « Tu es invitée à dîner jeudi soir, tu l’as remercieras toi-même. » Je hochais la tête tout en sirotant mon café et jetait un coup d’œil à ma montre, vingt trois heures trente, notre dealer n’allait pas tarder à se pointer. « Tu es au courant ? Des rumeurs ? » « Des rumeurs ? » « Concernant ce fameux mur. » Je lui jetais un rapide coup d’œil avant de reporter mon attention sur la maison. « Ça t’inquiète ? » « Pas toi ? » Répondit-il du tac au tac. « Je ne sais pas… J’ai du mal à croire ce qui se raconte. Je veux dire, on est au 21ème siècle non ? Se serait contre la morale et les lois de faire une telle chose. » Un lourd silence s’installa dans l’habitacle, chacun se plongeant quelques instants dans ses pensées, pesant le pour et le contre. « Tu as raison, c’est impossible. » Qui aurait pu deviner à ce moment là que nos dirigeants allaient faire quelque chose d’inimaginable ? Personne.
TUMBLR - PSYCHADELIACHILD
« Je t’en prie, laisse moi t’aider ! » La jeune femme s’était brusquement levée de la chaise où elle était assise jusqu’à présent. Elle s’était levée à cause de la pression qu’exerçaient les divers sentiments qui s’entrechoquaient dans sa poitrine et dans le creux de son ventre. La colère, le désespoir, l’indignation et l’impuissance la tiraillaient de toute part, formaient un étau qui la déchirait littéralement. L’homme qui lui faisait face et qui secouait faiblement la tête était en fauteuil roulant, en soupirant, il posa les mains sur les roues de chaque côté et donna des impulsions régulières. Caméline le regarda d’abord s’éloigner sans rien dire, changer de pièce puis finit par lui emboîter le pas. « Tu dois m’écouter. Il faut que tu t’en ailles d’ici, tu as reçut la lettre ! Je refuse de les laisser t’emmener de l’autre côté. » « Line… » « Je peux te trouver un endroit sûr, fais moi confiance pour une fois ! » « Non. » « Mais… » « Ça suffit. Je refuse de fuir, est ce que tu peux comprendre ça ? » La jeune femme ne répondit pas tout de suite. Ce n’est pas qu’elle n’avait plus les mots pour le convaincre, non, c’est parce que quelque chose en elle venait de se briser. Doucement, elle relâcha les mains de son père qu’elle avait empoignait avec force et se releva. « Non. Non je ne comprends pas car en refusant de fuir, tu m’abandonnes. Papa, tu m’abandonnes comme maman l’a fait à l’époque. » « Bien sûr que non ! On se reverra, je suis sûr que cette situation ne durera pas longtemps, ils finiront par se rendre compte de leur erreur. » « Cette fois-ci c’est toi qui ne comprends pas ! Tu seras parqué derrière ce mur voir pire si les choses se passent mal. Tu te mens à toi-même et tu me mens par la même occasion. Tu sais bien qu’il faudra du temps pour stopper la machine qui s’est mise en marche. » « Caméline… » « Au revoir papa. » « Caméline ! CAMELINE ! » Comme un automate, la jeune femme tourna les talons et sortie de la pièce, puis de la maison. Elle sortie le plus vite possible pour ne pas se retourner, pour ne plus l’entendre crier son nom.
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Nous avions passé une semaine entière à préparer ce moment. Ce n’était pas la première fois que l’on tentait une action de ce genre mais chaque situation est différente. Il a d’abord fallu établir un plan de base, le changer en fonction du matériel que nous avions pu nous procurer ou non et enfin, prévoir divers scénarios qui découleraient de notre action. Car rien ne se passe comme prévu, tout peut basculer sans que l’on ne s’y attende et les pertes sont catastrophiques. Quand on organise des attentats contre le gouvernement ou que l’on décide d’intercepter un convoie afin d’empêcher un envoie vers le sud, comme maintenant, de nombreuses vies humaines sont en jeu. On n’a donc pas le droit à l’erreur. J’étais assise au bord d’une fontaine sous un soleil de plomb, portant une veste malgré la chaleur pour dissimuler mon arme. J’essayais de paraître décontractée, de ressembler à une personne normale ayant son après-midi de libre et venant profiter du temps au parc. En vérité j’étais tendue de la tête aux pieds, mon cœur qui battait à en faire exploser ma poitrine me rendait folle et je ne pouvais m’empêcher de serrais le petit boîtier noir qui se trouvait dans ma poche droite. Je sursautais quand la sonnerie de mon téléphone portable retentit et décrochais tendit que j’étouffais un juron. La voix de Marc m’informa que tout étais en place, je n’aurais plus qu’à déclencher les bombes quand le camion sera arrêté au feu rouge. Nous passerons alors à l’attaque et libérerons les enfants pour les ramener à leurs parents et les cacher dans un endroit sûr. Des lieux connus uniquement des membres de la résistance. Mes pensées vagabondèrent quelques instants et s’accrochèrent sans que je ne sache vraiment pourquoi à Mary. Cette dernière s’inquiétait beaucoup pour moi à l’époque, elle se demandait comment une jeune femme tel que moi pouvait être flic dans un quartier aussi sensible et dangereux. Je lui répondais toujours avec le sourire que j’aimais mon métier et que voir la misère du monde me permettait de garder les pieds sur terre. Je n’étais pas superflic, non loin de là, mais j’aimais à penser que d’une manière ou d’une autre je participais à l’amélioration des choses. Je bouclais les meurtriers, les dealers… Et ressentais une satisfaction sans nom lorsqu’ils étaient enfin derrière les barreaux. Que dirait Mary si elle savait ce que je faisais à présent ? Elle protesterait à coup sûr mais comprendrais. Une silhouette se matérialisa devant moi et me ramena à la réalité, son ombre me recouvrait et masquait ainsi le soleil. Je redressais la tête et me rendit compte qu’un deuxième homme se tenait sur ma droite, je me mordis la lèvre inférieur, en colère contre moi-même. J’avais baissé ma garde et m’étais faite avoir comme une bleue. « Mademoiselle Castle, veuillez nous suivre s’il vous plaît. » Je le dévisageais pour m’empêcher de regarder autour de moi et trahir la position des autres, je ne pu cependant éviter de jeter un coup d’œil du côté de la route. Le convoi arrivait, il me fallait gagner quelques secondes, je pourrais toujours déclencher les explosifs et donner aux autres la possibilité de continuer même si je n’étais pas là pour les aider. « Pourquoi ? » De toute évidence cette question le contrariait. « Contentez vous de nous suivre, nous vous expliquerons tout en détails plus tard. » Plus que quelques mètres. « Je connais mes droits, j’aimerais connaître les raisons de mon arrestation avant de vous suivre. » Bon sang pourquoi ce feu reste vert ? « Vous avez outre passé vos droits, nous pouvons vous emmenez de force s’il le faut. » Rouge, putain, allez les gars ! « Vraiment ? » L’homme fronçât les sourcils et se rapprocha encore, malheureusement pour elle, ce n’était pas un modèle de patience. « Vous tenez vraiment à rendre les choses difficiles ? Dans un lieu tel que celui-ci ? » « Et bien puisque vous posez la question… » Le convoie était enfin à l’arrêt. « Oui. » Elle appuya sur le bouton, une première explosion retentit puis une deuxième. Tandis que des soldats sortaient du véhicule, des hommes et femmes arrivaient de toute part. Les deux agents venus l’arrêter plongèrent sur elle et la désarmèrent, quand l’un des deux sortit une radio et donna l’ordre d’intervenir, le sourire de la jeune femme se figea. De nombreux militaires apparurent, les coups de feu fusèrent, c’étaient un véritable bain de sang. Aucun enfant ne se trouvait dans le camion. Caméline ne voyait qu’une possibilité, une taupe avait infiltré les résistants.
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« Cela va faire un an que l’on m’a parqué de ce côté ci du mur. Je ne suis pas malade, ni handicapée ou encore homosexuelle, non. Si je suis ici c’est parce que je me suis ouvertement opposée aux décisions du gouvernement en créant des attentats, en faisant échouer quelques uns de ses plans et de ce fait, provoqué des morts. Tué n’est pas une chose facile, on n’avait pas le choix, comme je ne l’ai toujours pas depuis que je suis ici. Toutes les personnes qui sont mortes de mes mains cette année, c’est celles qui m’avaient menacée. Vous comprenez ? C’était elles ou moi, la loi de la jungle, tué pour survivre. En général, les gens sont faibles physiquement car c’est rare de manger à sa faim ici. Cela ne change rien au fait que je suis un petit gabarie et qu’il m’a fallut apprendre à me défendre, surtout quand on voyage seule, on est une proie facile. Étant flic à la base je sais me battre et utiliser correctement une arme, seulement les munitions ne courent pas les rues. J’ai donc appris à combattre avec un couteau, puis deux. Je ne suis pas encore totalement ambidextre mais donnez moi encore quelques mois et se sera bon. Comment j’ai utilisé mon temps durant cette année ? C’est simple, je louais mes services. J’escortais les gens d’un territoire à un autre, des personnes qui avaient de quoi payer et besoin d’une protection. Ce n’est pas si difficile comme tâche, il suffit d’être prudent, de savoir se faire discret, de limiter le nombre de personnes à surveiller et de connaître les bons endroits où s’arrêter. Si j’ai décidé de vous rejoindre, c’est parce qu’après autant de temps passé toute seule, on finit par se rendre compte qu’on devient folle et c’est une chose que je ne peux pas me permettre. Non je dois rester saine d’esprit si je veux faire partie des personnes qui nous sortirons de là. J’ai oublié comment aborder les gens, je ne sais plus comment on fait pour avoir une simple conversation, mais quelqu’un m’a dit un jour que c’est comme le vélo. On n’oublie pas vraiment, il suffit de se lancer. Encore faut-il avoir le courage et l’envie de se lancer… »
Dernière édition par Caméline E. Castle le Ven 31 Déc - 20:06, édité 11 fois
Caméline E. Castle
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 15:14
le hors jeu
Pseudonyme : Purple rain Age : 20 ans et toutes mes dents... C'est ça la classe xd Présence sur le forum : Environ 4 à 5 jour sur 7. Où avez vous connu le forum ? Il y a très longtemps sur Bazzart Comment le trouvez vous ? Je ne fais que le répéter mais j'adore ce forum et je le trouve magnifique tant au niveau du design que du contexte. Célébrité utilisée : Entre Kristen Bell et Anna Paquin mon cœur balance ! Règlement signé ? oui.
Benjamin O'Neill staff •
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 15:17
J'aime bien Anna moi Je change ton pseudo pour Caméline Castle ?
Caméline E. Castle
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 15:18
C'est bon ma grande j'ai changé moi-même merci. Dur, dur de faire un choix, cela fait longtemps que je veux jouer avec les deux !
Benjamin O'Neill staff •
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 15:20
ah oui je n'avais pas vu que tu pouvais
Je pourrais pas te guider malheureusement
Caméline E. Castle
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 20:07
Et voilà je pense avoir tout modifié ^^
Michael Arthur Anders staff •
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 20:32
Et bien re-bienvenue ^^
Benjamin O'Neill staff •
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Ven 31 Déc - 20:40
Pour moi les modifications sont nickels. L'avatar t'es pré-réservé, il ne te manquera que les deux petits posts en rp pour qu'il soit définitivement à toi
Caméline E. Castle
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Sam 1 Jan - 18:03
Merci à vous deux
Aahron J. Callaway staff • undisclosed desire in your heart.
• Messages : 974 • Crédits : Box&Shock • Citation : "I am the master of my fate: I am the captain of my soul. "
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Dim 2 Jan - 12:41
Rebienvenue! Et très bon choix d'avatar a nouveau (y)
Sarah Fowles staff • I've lost myself again and I am nowhere to be found.
• Messages : 218 • Crédits : xoxo • Citation : “It’s okay that it hurts. That means it was real”
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Dim 2 Jan - 17:11
PULPY Rebienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Dim 2 Jan - 17:17
re-bienvenue.
Caméline E. Castle
• Messages : 88 • Crédits : CRUSTY REEK • Citation : « Tu t’es tiré dessus exprès ! » « Sur le moment ça m’a semblé une bonne idée. »
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞ Dim 2 Jan - 18:53
OUH merci vous êtes adorables
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Sujet: Re: ❝ SPEED OF SOUND.❞
❝ SPEED OF SOUND.❞
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